Val-et-Châtillon

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Par Roger CORNIBÉ

Val-et-Châtillon : son passé, ses gens

Une nouvelle édition revue et enrichie (jusqu'à 2012) vient d'être publiée.

XVI - L’ ESPOIR

1985

Du 14 décembre 1984 au 9 mars 1985, le maire n’a pas assisté aux réunions du conseil municipal, pour raison de santé. Il démissionnera d’ailleurs le mois suivant.

Mai

Des élections ont lieu le 7 pour désigner un nouveau maire. M. Alain Gérard est élu 1er magistrat de la commune; il est secondé par MM. Raymond Bontems, 1er adjoint et Roger Chopinez 2ème adjoint.

Juin

Pour une installation plus confortable de l’entreprise Erévos dans les anciennes écoles, la commune fait procéder à quelques rénovations (fenêtres, chaudière). Une cinquantaine de personnes - de la main-d’œuvre surtout féminine - travaillent dans ces locaux.
Suppression de la fontaine - lavoir de la place de la mairie. L’emplacement servira à stocker du matériel de voirie.

Deux conseillers démissionnent :
- M. André Laurain pour raisons professionnelles
- M. Jean Loup Cayet qui ne réside plus dans la commune.

Septembre

Nouvelles démissions de deux conseillers ; les raisons invoquées sont d’ordre professionnelles. Il s’agit de MM. Bernard Munier et RobertSchaller.

Novembre

Les 3 et 10, des élections désignent 5 nouveaux conseillers municipaux : Messieurs Olivier Grandjean, Gérard Ehrlé, FrancisGérard, Michel Lambour et Daniel Charolet.

1986 - Février

M. Dardaine, secrétaire de mairie, demande le bénéfice d’une cessation progressive d’activité à compter du 1er septembre de l’année en cours. Suite aux travaux réalisés aux frais de la commune, la location de l’immeuble occupé par Erévos passe de 12 000 à 16 140 Frs par an.

Avril

Le m3 d’eau vaut 1,55 Fr.

Juin

Le projet de création d’un étang devient réalité.La commune a déjà acheté plusieurs terrains à des particuliers afin de réaliser une superficie inondable de 2ha 76 a.

Septembre

Séance du 5.
Le conseil municipal décide l’acquisition des friches industrielles(ancienne usine Bechmann, propriété de la S.C.I. de Lorraineet des Vosges) situées sur le ban des communes de Val et Petitmont(5 ha 13a 87 ca) pour la somme de 350 000 Frs.
Demande de modification des limites territoriales entre Val et Châtillon et Petitmont, à propos précisément de l’achat des friches industrielles ; le village voisin n’étant de toute évidence pas intéressé par la parcelle réduite le concernant,Val achèterait l’ensemble des friches et en échange donnerait à Petitmont une parcelle située près de l’ancienne scierie "Clineroche".

Le maire évoque le prochain départ à la retraite de Monsieur Fernand Masson, gardien de police municipale. Le conseil municipal estime que ce poste pourra être supprimé, vue la fermeture des usines qui a entraîné une baisse importante de la population.

Novembre

Séance du 23.
Le maire invite les conseillers à se prononcer sur l’achat de l’ancienne Société Cotonnière Lorraine, étant donné que la Société Immobilière Brand serait disposée à vendre cet ensemble de 3 ha 40 a 23 ca pour lasomme de 300 000 Frs.

Décembre

Séance du 19.
- L’acquisition de l’ancienne Cotonnière Lorraine est décidée par 13 voix pour et une contre.
- Le maire fait part du programme de démolition des friches industrielles de l’ancienne usine Bechmann. Le coût de cette opérationest de 71 160 Frs.
- Pour la première fois, la commune participe au financementde l’E.P.C.I. du pays de Badonviller, Cirey sur Vezouze, de la valléede la Plaine , à raison de 3 096 Frs, soit 4 Frs par habitant (4 x 759).
- Monsieur Jean Locatelli, chef technicien de l’O.N.F., fait valoirses droits à la retraite. Pour le remercier d’avoir su gérer avec compétence le patrimoine forestier de la commune, les conseillers décident de participer financièrement au cadeau qui lui sera remis. Cette réunion amicale, qui se tiendra à Blâmont, réunira tous les maires du district.
 

Le village aujourd’hui

Comme beaucoup d’agglomérations du Sud Lunévillois, Val et Châtillon a vu sa population diminuer après la disparition de l’activité économique. Pour d’autres communes comme Petitmont, St Sauveur, Bertrambois... bien que concernées par la montée du chômage, le choc de la décennie passée (parce que non vécu territoriallement,) a été moins rude.
Il reste qu’il ne faut pas se voiler la face et se garder de toute démagogie déplacée. Ici tout le monde est encore traumatisé par la disparition des usines mais gémir ne sert à rien.
Seule la volonté d’union des communes soucieuses d’œuvrer à la promotion de nos régions, est facteur de réussite et doit permettre des perspectives mobilisatrices dans le domaine du tourisme.

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