XV - VAL ET CHATILLON, COMMUNE SINISTREE
1979 - Février
Le bail de location des anciennes écoles à la Fédérationde Œuvres Laïques de Meurthe et Moselle est annulé. La commune est tenue de verser 60 000 Frs à cet organisme pour l’indemniserdes travaux réalisés et de la rupture du bail.
Dès le mois suivant, c’est la Société Erévos,représentée par M. Hugot de Roissy, qui occupe le bâtiment pour y installer des ateliers d’électroniques. il est prévu la création d’une quarantaine demplois d’ici 2 ans. La société paiera un loyer annuel de 12 000 Frs.
Mai
Le ramassage des ordures change de formule. Désormais il se fera selon un schéma départemental. Les déchets seront acheminés vers une décharge contrôlée et agréée.
Août
M. André Dépoutot, appelé à exercer professionnellement loin du village, quitte Val mais conserve son poste de 1er adjoint.
La société des H.L.M. renonce à l’achat des cités de la rue de Morval (cités appartenant à la SociétéCivile Immobilière de Lorraine et des Vosges), malgré les tractations menées par M. de Talhouet, maire de Cirey et conseiller général.
Septembre
A la suite de la suppression de 2 classes, résultant de la baisse des effectifs, deux institutrices quittent le village : Mme Dépoutot et Mlle Danichert.
Novembre
M. Marcel Héry devient 3e adjoint. Le conseil municipal décide la réfection des peintures intérieures de l’église et confie ces travaux à l’entreprise Théobald de Cirey.
1980 - Février
Le m3 d’eau vaut 1,30 Fr.
La commune acquiert le terrain où était édifiée la fondation Veillon (rasée en 1975) pour la somme de 1 000 Frs.
Juillet
M. Gustave Ecrepont offre de céder à la commune les immeubles de la Société Immobilière de Lorraine (anciens EtsBechmann) pour 1 800 000 Frs. Aucune suite n’est donnée à cette "offre" qui endetterait la commune sans la moindre assurance de voir s’implanter une quelconque activité sur ce site.
Septembre
Une nouvelle suppression de classe à l’école primaire entraîne le départ de Mme Munch, originaire de Val et institutrice dans son village depuis 14 ans.
1981 - Avril
Le 8 a lieu la vente de l’usine et des maisons appartenant à la S.C.I. de Lorraine et des Vosges. Sur l’ensemble des habitations, 25 ne trouveront pas d’acheteurs ; elles seront vendues lors de la 2èmevente aux enchères du 24 juin de la même année. Le site industriel n’intéresse personne. La commune se rend propriétaired’un terrain attenant à la fondation veillon ainsi que du lavoir public de la rue de Cirey.
Juin
La décharge communale est fermée au public.
Août
Les deux anciennes rues privées (Moulin et Veillon) sont intégrées dans la voirie communale.
Décembre
Pour satisfaire de nombreuses demandes de logements, la municipalité envisage la construction de 6 pavillons sur le terrain de la fondation Veillon. Le projet n’aboutira pas : vu la nature rocheuse de l’endroit, le coût des travaux serait trop élevé.
1982
Le m3 d’eau vaut 1,42 Fr.
Devant la lenteur apportée à la liquidation des bâtiments des anciennes usines, le conseil municipal vote une motion de protestation. Malgré l’appui du Sous-Préfet, et sans doute à causede la situation confuse du groupe Ecrepont, aucun compromis n’est trouvé. De plus, l’espoir de voir se créer des emplois devient de plus en plus utopique, d’autant plus que dans le projet d’aménagement, lecanton de Cirey disparaît de la zone de création d’emplois primables par l’Etat.
1983 - Mars
Installation du téléphone à l’école. Le groupe scolaire ne compte plus que 3 classes primaires et 1 classe maternelle.
Aux élections des 6 et 13 mars, M. André Marcelet est élu maire ; les deux adjoints sont MM. Robert Schaller et ClaudeGodfroy. André Laurain, Raymond Bontems, Philippe André, Jean Loup Cayet, Daniel Dardaine, Roger Chopinez, Bernard Munier, AlainGérard, Pierre Erhart, Michel Blaise, René Bouquet et PierreGrandclaire complètent l’équipe municipale.
Avril
Un nouveau conseiller général du canton de Cirey est élu ; il s’agit de M. Weymeskirch, professeur à la retraite, résidant à Cirey. Il bat M. de Talhouet, conseiller sortant.
L’ancien hôtel Duteil est mis en vente. La commune n’est pas intéressée et préfère acquérir la fontaine-lavoir de la rue de Morval pour le franc symbolique.
Mai
Afin d’éviter de nouveaux dégâts, le paratonnerre de l’église est amélioré et mis en conformité.
Il est décidé que l’Association Familiale Rurale et l’Association du 3ème Age pourront se réunir dans les locaux inoccupés du groupe scolaire.
Juin
Le conseil municipal prévoit d’importants travaux à la salle des fêtes : remplacement des 300 m2 de plancher, sonorisation de la grande salle.
Septembre
Les bâtiments de l’ancienne usine Bechmann sont mis en vente le 22. Ils ne trouveront aucun acquéreur.
La commune de Petitmont renouvelle à celle de Val la concession des sources et le droit de passage en sa forêt, au lieudit "la NoireBasse". Des éboulements rocheux inquiètent les habitantsdu Bajeu. Des études sont réalisées pour prévenir tout accident.
1984 - Février
Le conseil municipal fait l’achat d’un camion d’occasion à benne, de marque Mercédes, pour remplacer l’ancien véhicule, unRenault, en service depuis 1968.
L’entretien des installations de chauffage du groupe scolaire est confié à l’entreprise Philippe de Badonviller.
Pour que soient réhabilitées les friches industrielles,la commune demande leur inscription au ixe plan.
Nouvelle tentative de vente de l’ex-usine Bechmann, toujours aussi infructueuse.
Mai
Le conseil général consent une aide financière à la commune si celle-ci accepte de se rendre propriétairedu site industriel. Cependant la majorité des élus n’est pas favorable à cette formule et souhaiterait plutôt voir se transformer les bâtiments encore existants en équipements de loisirs.
Juillet
Le 11, une tornade cause d’importants dégâts en forêt. Le toit de l’église subit quelques dommages.
Août
Invité par le maire, le conseiller général du canton développe deux projets devant l’assemblée communale:
- celui de l’aménagement d’un terrain de tourisme et de loisirs avec création d’un ensemble de gîtes hôteliers.
- celui d’un plan d’eau de 2 ha situé au "Bois de Nitra".
Novembre
L’espoir de l’implantation de structures d’accueil destinées à promouvoir le tourisme est vite balayé quand les élus apprennent, le 17, que la subvention de 50% pour la création de gîtes hôteliers est ramenée à 10 % seulement.
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Val-et-Châtillon : son passé, ses gens
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