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Le doyen du village chouchouté
Publié le vendredi 17 janvier 2025
Le maire Thierry Culmet et la première adjointe Marie-Thérèse Gérard ont rendu visite à Raul Patricio, doyen du village, pour lui présenter leurs vœux et lui offrir un panier garni.
M. Patricio est né le 29 août 1934 à Bendada Sabugal, au Portugal. Il a effectué sa carrière professionnelle chez Trailor à Lunéville.
À son départ en retraite, il s’est installé à Val-et-Châtillon, où il a acquis une maison.
Homme discret, M. Patricio aime se promener en forêt et cueillir des champignons.
Raul Patricio a eu droit à une petite attention de la municipalité, remise par Thierry Culmet.
Décès de Denise Charolet
Publié le jeudi 09 janvier 2025
Nous apprenons le décès de Denise Charolet
survenu le mercredi 1er janvier.
Denise voit le jour le 22 septembre 1935 à Strasbourg, elle passe sa jeunesse à Brumath. Le 19 août 1955, elle épouse Guy Charolet, ils ont trois enfants. Après avoir exercé différentes activités, elle termine sa carrière à La Poste de Val-et-Châtillon. Au décès de son époux, elle continue à s’occuper de ses animaux, de sa maison et de son jardin. Ces dernières années, sa santé déclinant, elle intègre l’Ehpad La Charmille à Saint-Quirin où elle aimait recevoir ses enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants.
Nos condoléances.
Vous pouvez rendre hommage au défunt sur sa page commémorative sur le site Libra Memoria et présenter vos condoléances à ses proches en témoignant votre sympathie.
Questions à … Lylian Etienne, doctorant en histoire contemporaine à Nancy
Publié le jeudi 09 janvier 2025
Qu’appelle-t-on « arts décoratifs » ?
Ils regroupent tout ce qui se rapporte aux ornements d’objets du quotidien tels que le mobilier, la céramique, le textile et le verre. Ceux-ci s’opposent aux beaux-arts : peinture, sculpture et architecture. Au 19ème siècle, l’essor de la production en série au sein d’une société industrielle amorce la recherche de nouveaux rapports entre esthétique et utilité.
En quoi Nancy est-elle un symbole ?
Le principal foyer d’art décoratif français après Paris se situe en Lorraine : une concentration d’industriels d’art et d’artistes entraine une émulation propice à la création artistique. Ensemble, ils explorent les motifs ornementaux de la nature en général pour les appliquer à la production de mobilier, de vases et de l’architecture. Ce courant artistique portant le nom d’Art nouveau trouve localement sa forme la plus aboutie avec l’École de Nancy.
Pourquoi porter une attention particulière aux artistes féminins ?
Au sein du groupe gravitant autour de l’École de Nancy, la collaboratrice d’Émile Gallé, Rose Wild, est connue pour être la seule salariée d’une entreprise de l’École. Pourtant, les autres jeunes filles de sa génération ont bénéficié d’un contexte propice au développement des arts décoratifs féminins. Alors même que près de 400 femmes artistes ont été actives dans la région, les arts décoratifs restent minoritaires dans leurs créations. La non-intégration des femmes se manifeste comme un acte manqué de la part des industriels et en explorer les raisons permet d’étudier les stratégies de contournement mises en place.
Quelle est votre actualité pour 2025 ?
Je poursuis la rédaction de ma thèse sur les artistes femmes en Lorraine. Plusieurs communications sont prévues notamment dans les domaines des arts décoratifs féminins.
Lylian Etienne donnera la conférence « Les arts décoratifs féminins à Nancy – 1890-1914 » ce 18 janvier à 15h à la salle des fêtes de Val-et-Châtillon. Ouvert gratuitement à tous.
Lylian Etienne développera une thématique inédite sur l’activité des femmes dans les arts décoratifs.
Après-midi fraternelle paroissiale
Publié le jeudi 09 janvier 2025
L’Equipe d’Animation Pastorale et le père Edouard Manyanga avaient invité, courant décembre, les paroissiens et tous ceux qui le voulaient à un après-midi fraternel en ce début d’année 2025, année jubilaire pour l’église catholique. C’est la thématique de l’Epiphanie et de la venue des mages à la rencontre de l’enfant-Jésus qui a donc été choisie comme fil conducteur. Seule une dizaine de personnes ont répondu présentes à la salle des fêtes, prêtée gratuitement par la municipalité. La première partie a été consacrée à un partage d’Evangile autour des versets de la solennité fêtée. Cela a permis de nombreux échanges constructifs et enrichissants en petits puis en grand groupes. Après l’effort de réflexion vint le temps du réconfort avec la dégustation de la galette des rois. Pour terminer ce temps paroissial, l’abbé Manyanga a célébré la messe en présence d’une quarantaine de fidèles.
L’Epiphanie et sa traditionnelle galette des rois ont réuni une dizaine de paroissiens.