Val-et-Châtillon

S’il est vrai que le grand public retient principalement ses paysages ruraux lorrains, Alfred Renaudin a été aussi un témoin de la vie parisienne et de ses nombreuses transformations urbaines.

De par la proximité de son atelier situé rue Caulaincourt, Il a notamment peint l’aménagement du quartier de Montmartre et de toutes les artères attenantes. Outre la jeune Tour Eiffel, le Palais-Bourbon, le Sacré-Cœur ou encore le Louvre, il a mis en couleurs cette vue magistrale de la cathédrale Notre-Dame depuis la rive gauche de la Seine où deux hommes endimanchés s’attèlent à la représenter assis au bord de l’eau. On y distingue clairement la flèche de Viollet-le-Duc ainsi qu’une grande partie de la toiture qui tel le Phénix renait aujourd’hui de ses cendres.

Cette toile, issue d’une collection particulière, est signée en bas à droite, notée Paris et datée de 1919. Elle est considérée comme une trace artistique et historique de l’édifice qui va rouvrir ses portes après 5 ans de restauration suite à l’incendie du 15 avril 2019. L’inventaire des toiles de l’artiste-peintre propose d’autres œuvres plus lumineuses où se reflètent les tours du monument dans le fleuve non loin du pont Saint-Michel.

 La pierre a toujours été une grande source d’inspiration pour Alfred Renaudin.

Le marché de Noël organisé par la maison pour tous a été une belle réussite. Bon nombre d’exposants étaient présents pour le plus grand bonheur des visiteurs. Tous pouvaient également se restaurer sur place et déguster de délicieux gâteaux faits pas les bénévoles de l’association.

Une journée conviviale.

Suite à la météo des dernières semaines, les eaux de pluie se sont infiltrées par les joints défectueux des couvertines. Une partie du mur du cimetière, gorgé d’eau, menaçait de s’effondrer. Les agents techniques municipaux ont procédé d’urgence à la réparation du mur avec la dépose et la repose des pierres à l’identique.

Les joints des couvertines des murs périphériques du cimetière seront refaits en totalité par les services techniques au printemps 2025.

La partie du mur qui menaçait de s’effondrer a été reprise par les agents municipaux.

La rue Rayeterre sera barrée vendredi 29 novembre entre le numéro n°6 et le n°6b en raison de travaux de déboisement réalisés par l’entreprise BARASSI pour le compte de la commune.

Une portion du mur du cimetière, menaçant de s’effondrer sur les monuments avoisinants, a été restaurée avec soin. L’entreprise d’insertion Partego, basée à Blâmont, a procédé au démontage et à la reconstruction de cette section en pierres sèches, respectant l’authenticité de l’ouvrage. Le coût total des travaux s’élève à 3 700 euros TTC. Cette intervention contribue à la préservation du patrimoine local tout en offrant une opportunité d’insertion professionnelle.