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Centenaire de l’Armistice

Publié le mercredi 14 novembre 2018

Auteur : Olivier Béna

Dimanche 11 novembre, vers 11h45, à l’invitation de Josiane Tallotte, maire, les forces vives locales se sont réunies place du Maréchal Foch (commandant suprême des forces alliées et participant à la signature de l’Armistice dans le wagon situé dans la clairière de Rethondes près de Compiègne).

Elus, associations patriotiques et porte-drapeaux, présidents ou membres d’associations, habitants, ont marché en cortège jusqu’au square Jean de Klopstein, fraîchement rénové et inauguré de même que le Monument aux Morts où sont gravés en lettres d’or les noms des « enfants du Val » Morts pour la France au cours des conflits du 20ème siècle.

En l’absence de Roland Dal Martello, président de la section A.M.C., Olivier Béna a pris le commandement de la cérémonie. Après la lecture du message présidentiel, les noms des victimes ont été égrainés afin de leur rendre les honneurs qu’ils méritent du fait du sacrifice de leur vie pour notre liberté. Des gerbes ont été déposées pour la Municipalité par les trois maires-adjoints et pour l’AMC par Jean-Claude Tallotte et Alain Parisot, membres de la section.

Après une minute de silence et le chant a capella de la Marseillaise, les autorités ont remercié sur place les porte-drapeaux pour leur présence et leur investissement constant tout au long de l’année.

Le retour à la salle des fêtes a permis aux participants de découvrir une petite exposition de photos et documents sur la thématique du jour. A son tour, Josiane Tallotte a prononcé un discours puis a donné la parole à Philippe Arnould, président de la Comcom’, avant que le vin d’honneur ne soit servi.


Le blason de la commune réalisé sur bois par François Gérard a été réceptionné officiellement par la Municipalité. Pour se souvenir que nos poilus devaient boire de l’alcool avant d’affronter la dure réalité des combats et de leurs conséquences, un punch à la mirabelle a été proposé aux invités. Il est fort dommage qu’aucun enfant du village, ni même leurs parents, ne se soit déplacé pour l’occasion. Il est urgent que le flambeau de la mémoire soit transmis et perdure pour ne pas oublier. La tentation du passé et de ses funestes pages restent à notre porte et pourraient s’installer à nouveau si nous n’y prenons pas garde. 

Olivier BENA

 


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